Quoi de mieux comme premier article sur ce blog que de replonger dans les souvenirs, en ce mois de septembre 1997 où, pour la première fois, j'ai posé le pied sur l'île de Crète ?
Alors remontons un peu le temps et repartons en ces jours ensoleillés où j'ai découvert cet endroit magnifique...
Mes premières promenades en Crète se sont faites en V.T.T. : pour moi, avant d'y venir, le V.T.T. était du Vélo Tout Terrain ; pour notre guide sur place, il s'agissait du Vélo Toutes Tavernes (à chaque balade, sa pause dans une taverne pour y boire un verre bien mérité).
Hélas, j'ai très vite réalisé deux choses : et d'une, parisienne d'adoption depuis quelques années, j'avais perdu l'habitude de faire du vélo... ; et de deux, j'avais oublié de me renseigner avant de partir sur le relief de la Crète... certes, c'est une île, mais je dirais plutôt une montagne sur la mer !
Et c'est ainsi que pour moi, le V.T.T. est désormais le Vélo Toutes Tortures (d'où ma réticence, aujourd'hui encore, à en faire !). Combien de fois ai-je rêvé de jeter dans le ravin le plus proche mon vélo et de retourner à l'hôtel à pied ou en stop ? Mais je ne l'ai pas fait et j'ai tenu jusqu'au bout de la semaine, difficilement !
Heureusement, malgré la souffrance engendrée par des promenades de 25 à 30 km sur une demi-journée, il y avait des compensations, et notamment les magnifiques paysages de la Baie de Souda, à l'ouest de l'île, à couper le souffle...
Et parfois, au détour d'un petit chemin de pierre, on pouvait trouver une petite crique aux eaux dignes d'un lagon, où il faisait bon se reposer.
Et puis, à la faveur d'un jour de repos, j'ai aussi découvert la ville de La Canée (aussi appelée Hania ou Chania), en y allant à bord d'un bus hors d'âge, et je me suis retrouvée à me promener dans des ruelles chargées d'Histoire, jusqu'à un port qui invitait à la détente, et l'endroit a fini de me séduire.
Et si finalement, au terme de ce séjour, je me suis juré de ne plus remonter de sitôt sur un V.T.T., surtout en Crète, je me suis au contraire promise d'y revenir le plus vite possible pour visiter le reste de l'île, et c'est ce que j'ai fait dès l'année suivante...
Mais ceci est une autre histoire que je vous conterai une prochaine fois...
A bientôt !
Mes premières promenades en Crète se sont faites en V.T.T. : pour moi, avant d'y venir, le V.T.T. était du Vélo Tout Terrain ; pour notre guide sur place, il s'agissait du Vélo Toutes Tavernes (à chaque balade, sa pause dans une taverne pour y boire un verre bien mérité).
Hélas, j'ai très vite réalisé deux choses : et d'une, parisienne d'adoption depuis quelques années, j'avais perdu l'habitude de faire du vélo... ; et de deux, j'avais oublié de me renseigner avant de partir sur le relief de la Crète... certes, c'est une île, mais je dirais plutôt une montagne sur la mer !
Et c'est ainsi que pour moi, le V.T.T. est désormais le Vélo Toutes Tortures (d'où ma réticence, aujourd'hui encore, à en faire !). Combien de fois ai-je rêvé de jeter dans le ravin le plus proche mon vélo et de retourner à l'hôtel à pied ou en stop ? Mais je ne l'ai pas fait et j'ai tenu jusqu'au bout de la semaine, difficilement !
Heureusement, malgré la souffrance engendrée par des promenades de 25 à 30 km sur une demi-journée, il y avait des compensations, et notamment les magnifiques paysages de la Baie de Souda, à l'ouest de l'île, à couper le souffle...
Et parfois, au détour d'un petit chemin de pierre, on pouvait trouver une petite crique aux eaux dignes d'un lagon, où il faisait bon se reposer.
Et puis, à la faveur d'un jour de repos, j'ai aussi découvert la ville de La Canée (aussi appelée Hania ou Chania), en y allant à bord d'un bus hors d'âge, et je me suis retrouvée à me promener dans des ruelles chargées d'Histoire, jusqu'à un port qui invitait à la détente, et l'endroit a fini de me séduire.
Et si finalement, au terme de ce séjour, je me suis juré de ne plus remonter de sitôt sur un V.T.T., surtout en Crète, je me suis au contraire promise d'y revenir le plus vite possible pour visiter le reste de l'île, et c'est ce que j'ai fait dès l'année suivante...
Mais ceci est une autre histoire que je vous conterai une prochaine fois...
A bientôt !
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