lundi 29 novembre 2010

Pour les gourmands !

Bonsoir à tous !

Nouvelle gourmandise ce soir… oui, je sais, vous allez vous plaindre que je veux vous faire prendre du poids, mais quand c’est une fois de temps en temps, ça ne peut pas faire de mal de se faire plaisir en mangeant un bon gâteau !

Petite variante aujourd’hui, pas de cuisine grecque, mais une recette française que je fais depuis des années, je vous dévoile le secret de mon fameux gâteau au chocolat, celui qui ne dure jamais longtemps quand j’en fais, que ce soit pour partager avec mes proches ou pour moi toute seule le matin au petit déjeuner (comme ça va être le cas cette semaine !).

Donc, commençons par les ingrédients, pour un gâteau pour 6 à 8 personnes :
  • 150 grammes de chocolat à dessert
  • 150 grammes de margarine
  • 50 grammes de farine
  • 50 grammes de Maïzena
  • 1 sachet de levure chimique
  • 150 grammes de sucre
  • 4 oeufs

Faire fondre le chocolat avec la margarine et bien mélanger pour obtenir une base lisse
Ajouter la farine, la Maïzena et la levure, puis le sucre
Séparer les blancs des jaunes d’œufs
Ajouter les jaunes d’œufs à la pâte
Battre les blancs en neige ferme et les mélanger délicatement à la pâte
Verser dans un moule à cake
Faire cuire 40 minutes au four à 180° (thermostat 6)
Laisser refroidir un peu avant de démouler

On peut servir ce gâteau seul ou, si on est très gourmand, avec une crème anglaise ou de la crème chantilly (oui, je sais, là je pousse au crime, mais c’est juste une suggestion, personnellement moi je le mange sans rien ajouter, je trouve qu’il se suffit à lui-même).

Comme d’habitude, voici maintenant le résultat final en photos… D’abord, un instant après sa sortie du four (dommage, il était plus gonflé quand je l’ai sorti, mais il est retombé un peu car je n’ai pas eu le temps de le photographier plus tôt…)
Le même, une fois démoulé
Et pour finir, avec la première tranche coupée… regardez comme il est moelleux à l’intérieur (dommage que vous n’ayez pas l’odeur aussi, mon appartement embaume le gâteau au chocolat maintenant ! Bon, j’arrête de vous narguer, sinon vous allez râler !)

Bon appétit, à bientôt !

samedi 27 novembre 2010

Paris by night

Bonsoir à tous !

Pas de photos de Paris sous la neige ce soir, puisque finalement, la neige n'est pas tombée aujourd'hui (demain peut-être ?).
Mais comme j'avais envie de continuer à tester mon appareil photo, et aussi pour faire plaisir à Véro qui a envie de voir les illuminations de Noël sur les Champs Elysées, je suis allée faire un tour là-bas à la tombée de la nuit... 
Suivez-moi pour la balade!

Dès la sortie du métro Franklin Roosevelt, au niveau du Rond Point des Champs Elysées, premières lumières de fête sur l'avenue Montaigne
Principale difficulté pour photographier les Champs Elysées, la circulation... heureusement qu'il y a le passage pour piétons qui offre la possibilité de s'arrêter au milieu le temps de prendre la photo, mais il faut recadrer après pour retirer tous les véhicules !
Arrivée au Rond Point des Champs Elysées, découverte des décorations des bassins aux couleurs blanches et rouges, qui se reflètent dans l'eau
Au début du Marché de Noël des Champs Elysées, le "petit train du Père Noël", qui doit secouer un peu à en juger par les cris de ses passagers !
Un des arbres vêtu de ses habits de lumière
Sur le Marché de Noël, quelques cabanes décorées d'animaux un peu particuliers... mais à l'air sympathique !
 
Et au bas des Champs Elysées, sur la Place de la Concorde, la fameuse Grande Roue qui permet d'avoir une vue imprenable sur tout Paris
Pour échapper à la foule qui se pressait sur le Marché de Noël, petite promenade sur le Pont Alexandre III, pour prendre quelques photos de nuit du pont et de la Tour Eiffel, avec le dôme des Invalides en toile de fond.
 
 
 
Et pour finir, quelques essais de gros plan sur les lampadaires du pont, pour éclairer la nuit...
 
Voilà, c'est fini pour ce soir.

A bientôt !

jeudi 25 novembre 2010

Dans le labyrinthe de Cnossos

Bonsoir à tous,

Tandis que la neige s’apprête à envahir la France, retour en Crète, sous le soleil de Cnossos, pour ma deuxième visite du site en 2000, dans des conditions différentes de ma première visite « au pas de course » en 1998, puisque je l’ai faite seule tôt le matin, avant que le site ne soit envahi par les groupes de touristes ! Retour dans l’album souvenirs…

Dès mon arrivée sur le site, un cri familier m’accueille : tiens, le paon est toujours là (toujours aussi bavard - pour ne pas dire criard - semble-t-il !)… mais comme la fois précédente, je l’entends, mais ne le vois pas… tant pis !
Il est à peine 9 h quand je commence ma visite ; comme cette fois-ci, je n’ai pas à suivre un groupe, je peux prendre mon temps et aller où j’en ai envie. Je ne suis restreinte que par les cordeaux qui délimitent les espaces autorisés au public… c’est dommage car j’aurais aimé entrer dans certains bâtiments dont l’accès est interdit… peut-être un jour prochain, lors d’une autre visite ?
Je parcours le site sans chercher à m’orienter, laissant le hasard guider mes pas et me ramener à la cour centrale, où je peux visiter la salle du trône sans faire la queue comme la fois précédente (normal, c’est une des plus belles pièces du palais, donc une des plus visitées). Puis je gravis l’escalier voisin et me promène sur de vastes terrasses, avant d’arriver à la salle qui surplombe celle du trône : elle est très belle, ornée de reproductions de fresques et percée en son centre d’un puits de lumière. Des hirondelles volent à travers la pièce en chantant, on se croirait soudain revenu des siècles en arrière...
Je sors sur une terrasse qui domine le palais et m’assois sur un muret pour faire une pause et admirer la vue sur le site.
Je continue la visite, descendant des escaliers, en remontant d’autres, traversant quelques pièces ou faisant demi-tour quand le chemin est barré... J’ai vraiment le sentiment de me promener dans le cœur du mythique labyrinthe, j’espère juste ne pas rencontrer le Minotaure au détour d’un couloir ! (ou, si c’est le cas, qu’il soit suffisamment rassasié pour ne pas me dévorer !)

Je trouve un escalier assez large qui me conduit au pied du palais, sur un chemin bordé de bancs bienvenus pour un bref repos avant de repartir vers les bâtiments. Comme en 1998, je ne peux qu’apercevoir certaines pièces toujours fermées au public comme le grand escalier ou la Chambre de la Reine.

Je me perds dans les ruines pour mieux les découvrir, profitant de la liberté de pouvoir me promener à ma guise.
Après des détours, j’arrive au bastion de l’entrée nord, facilement reconnaissable à sa fresque rouge montrant un taureau en train de charger. J’y monte, il n’y a qu’une grille qui empêche de s’approcher trop de cette fresque, qui est en relief alors que les autres du site semblent plates.
Je gagne un petit bâtiment qui se dresse un peu plus loin, le “bain lustral”, et emprunte l’escalier qui y descend pour mieux découvrir la pièce (non, je n’ai pas pris de bain, ça m’aurait pourtant rafraîchie car il faisait chaud !).
Après un arrêt au théâtre du palais, je retourne vers la sortie. Là, j’aperçois le paon si criard de tout à l’heure, dont la taille m’étonne, sa queue notamment semble immense mais c’est dommage, il n’est pas d’humeur à faire la roue et semble plutôt nous snober ! Une prochaine fois peut-être ?

Et voilà, c’est tout pour ce soir !

A bientôt.

mardi 23 novembre 2010

Retour à Santorin

Bonsoir à tous,

Vu le froid et la grisaille actuellement en France (et prochainement sans doute la neige…), repartons vite au soleil !
Ce soir, retour à Santorin, que j’avais brièvement visité en 1998, ce qui m’avait donné envie d’y revenir pour mieux découvrir l’île, ce que j’ai fait en 2000, en y passant cette fois-ci plusieurs jours pour en parcourir les principaux sites.

Comme en 1998, je suis arrivée à Santorin par la mer, depuis la Crète, cette fois-ci à bord d’un imposant ferry qui nous déposa à Athinos, le port de l’île, vers minuit. Je me souviens de l’attente du débarquement, du bruit d’enfer qui résonnait et faisait trembler le bateau quand les camions descendirent à terre, puis nous, les piétons, débarquant par la même passerelle que les véhicules roulant à vive allure, ce qui s’appelle vivre dangereusement !
Je fus accueillie par un orage qui grondait au loin, puis éclata alors que je montai dans le bus pour l’hôtel, et nous accompagna sur toute la route, donnant une apparence plus fantastique à la vue sur la caldeira, illuminée par les éclairs. Même arrivée à l'hôtel, depuis mon lit, j'entendais encore le tonnerre éclater dès qu'un éclair touchait la mer.

Heureusement, le lendemain, la météo fut bien plus clémente et le soleil brillait, me permettant de me promener dans les rues de Fira, la capitale, et d’en visiter les musées.
 
 
Je descendis au port de la capitale, en empruntant le téléphérique : la descente permettait de découvrir une vue superbe, mais fut trop rapide pour en profiter pleinement.
Une fois au port, je me promenai un peu, puis m’installai sur un banc au soleil pour observer l’animation du lieu.
 
Pour remonter à Fira, je décidai de le faire à dos d’âne ! Je gagnai donc la “gare des ânes” où le meneur du premier convoi à partir me demanda d’attendre un instant. Je m’assis un peu plus loin au soleil et attendis. 
Craignant peut-être que je ne perde patience et ne change d’avis (pas de risque, j’étais en vacances, j’avais tout mon temps !), il me rappella et m’entraîna vers un âne sur lequel il m’aida à monter une fois le prix de la « course » réglé. Il me montra comment faire avancer l’âne en donnant des coups de corde dans son cou... et, à ma grande stupéfaction, il nous laissa partir seuls, l’âne et moi ! Me voilà donc à essayer de faire avancer ma monture qui avait tendance à jouer les bourriques et à n’en faire qu’à sa tête ! Elle rasait les murs (attention à mes jambes !), s’arrêtait, repartait... Notre équipage eu le mérite d’amuser les touristes qui descendaient au port à pied et que nous croisions... Mon âne fut, selon les moments, têtu comme une mule et il s’arrêtait brusquement, refusant de continuer ; il me fallait alors alterner les coups de corde, les talonnades et les caresses pour le décider à repartir pour quelques mètres, ce qui provoquait l’hilarité de bon nombre de passants... et la mienne aussi quand même ! Soudain, alors que nous arrivions à un virage ombragé, il se planta là, dans la courbe, refusant d’avancer ne serait-ce qu’un sabot ! Une minute, deux minutes, trois minutes passèrent... rien ! Pas un sabot devant l’autre, quoi que je fasse : peut-être venait-il de décider une grève de la montée illimitée ? Rien n’y fit, pas même les conseils ou les encouragements des passants que ma situation semblait beaucoup amuser, sans compter les gens qui prirent des photos, ou même me filmèrent (oui, je fus l’attraction comique de la journée !) Pour ma part, je commençais à moins rire, me demandant si je n’allais pas être obligée de descendre et de le tirer en montant à pied... Et puis soudain, il se remit en route, d’un bon pas ! Un miracle ? Non, tout simplement son maître qui arrivait derrière nous avec deux autres touristes en selle, et qu’il avait dû entendre ! Cette fois ma monture ne rechigna plus et je finis par atteindre le sommet, ce qui me semblait incertain quelques instants plus tôt ! Après une dernière caresse à ma monture, je retournai dans les ruelles de la capitale, pour la suite de mon séjour…

Fin de ma première journée à Santorin !

A bientôt !

dimanche 21 novembre 2010

Douceur d'automne

Bonjour à tous,

Quand l'automne arrive, qu'il fait froid et qu'il pleut, quoi de mieux que de se préparer une petite douceur en rentrant chez soi, pour se réchauffer ? 
C'est ce que j'ai fait hier en revenant de mon "safari photos", en me préparant un chocolat chaud aux épices, tellement bon que je ne résiste pas au plaisir de partager la recette avec vous.

Dans une petite casserole (ou directement dans la tasse si vous optez pour une cuisson aux micro-ondes, ce que j'ai fait, et le résultat est aussi bon), faire fondre 6 carrés de chocolat noir dans un peu de crème fraîche et de lait.
Quand le chocolat est bien fondu, ajouter une cuillère à café de miel, une grosse pincée du mélange "quatre épices" (ou, si vous préférez, une pincée de cannelle et une de muscade moulue) et une petite pincée de poivre noir, (oui, je sais, au premier abord, c'est bizarre, mais finalement ça se marie très bien avec), bien remuer pour obtenir un mélange homogène
Allonger avec du lait froid pour obtenir la dose souhaitée, et faire chauffer pour amener à la bonne température.
Voilà, il ne reste plus qu'à déguster ! Regardez, ça donne envie, non ?

Régalez-vous bien, et à bientôt !

samedi 20 novembre 2010

Balade parisienne

Bonsoir à tous,

Enfin, la météo a fini par être plus clémente aujourd'hui, certes il faisait toujours froid, mais au moins il ne pleuvait plus et il y avait même du soleil par moment... J'ai donc pu en profiter pour aller essayer mon nouvel appareil photo en extérieur, petite balade en images au coeur du 16ème arrondissement de Paris.

Commençons par la rue Berton, rendue célèbre par Balzac qui l'utilisait pour fuir de sa maison quand les créanciers frappaient à l'entrée principale de son domicile, rue Raynouard ! A l'une de ses extrémités, la rue est très étroite, impossible d'y passer autrement qu'à pied ou en vélo !
Petit arrêt au Parc de Passy, qui a mis ses couleurs d'automne.

Poursuivons par le pont de Bir-Hakeim, qui traverse la Seine et offre une belle vue sur la Tour Eiffel, notamment du pied d'une statue au milieu du pont.
 
Et si un vrombissement remplit soudain l'air en faisant légèrement trembler le pont, c'est simplement que le métro aérien passe !

Du centre du pont, on accède à l'Allée aux Cygnes, au milieu de la Seine, une promenade agréable au milieu des arbres, dont les feuilles offrent un camaïeu de couleurs variées...
 

C'est aussi l'occasion de tester la puissance du zoom de l'appareil... pas mal, n'est-ce pas ?
 
Ou d'admirer les reflets du soleil d'automne sur les eaux de la Seine...
Et à l'autre bout de l'allée, non, nous ne sommes pas à New York... mais c'est bien la Statue de la Liberté qui apparaît, plus petite que son modèle original.
 
A la tombée de la nuit, c'est l'occasion d'un nouveau test, du mode nocturne cette fois-ci, avec la Tour Eiffel et ses habits de lumière, avant l'illumination de cinq minutes qui a lieu toutes les heures à la nuit tombée...
 

... et la même, au cours de l'illumination...

Et pour finir, un petit test du mode vidéo, plus parlant qu'une photo !

C'est tout pour ce soir !

A bientôt.