dimanche 30 janvier 2011

Lumière !

Bonjour à tous !

Aujourd'hui dimanche tranquille à la maison, plein de choses à y faire, mais j'ai quand même le temps de jouer un peu avec Sushi, d'autant que les conditions se prêtent bien à faire son jeu préféré... 
Pour cela, il faut :
- du soleil 
- un CD
et c'est tout...

Il suffit de placer le CD dans un endroit éclairé par le soleil pour qu'il se reflète sur le mur d'en face, et c'est parti pour un moment de jeu, avec comme bruitage l'imitation par Sushi des Martiens dans le film "Mars Attack" (si si, je vous jure, on dirait le même son !)... la preuve en images !



Bien évidemment, après ce genre de séance, Sushi est fatiguée et n'a qu'une idée, faire la sieste...
mais visiblement, je la dérange à la prendre encore en photo !
Elle tente une diversion en regardant ailleurs...
Bon, peut-être que si elle change de position, je la laisserai tranquille !
Bon, allez, c'est d'accord, laissons-la dormir !

A bientôt !

samedi 29 janvier 2011

Canard sucré - salé à ma façon

Bonjour à tous !

Enfin le week-end, quel plaisir de pouvoir se reposer un peu et de prendre le temps de faire les choses, notamment cuisiner.
Donc aujourd'hui, nouvelle recette, non pas d'un dessert pour une fois, mais d'un plat principal que j'adore faire le week-end, le canard sucré-salé à ma façon...

Pour commencer, prenez un canard...
Non, je plaisante (en fait, c'est la seule illustration que j'ai trouvée pour l'article, j'ai mangé le plat avant de penser à faire des photos tellement j'avais faim aujourd'hui !)

Donc, voici les ingrédients pour une personne, à vous de les multiplier ensuite  pour obtenir la quantité que vous souhaitez :
- 4 à 5 aiguillettes de canard
- 1 petite boîte de lait de coco
- 1 cuillère à soupe de miel bien pleine
- 1 cuillère à soupe de vinaigre balsamique
- 1 cuillère à café de maïzena délayée dans un fond d'eau
- 1 poignée de raisins secs
- 1 pincée de quatre épices
- 1 pincée de sel
- 1 portion de riz basmati

Disposer les aiguillettes de canard dans le fond d'un plat pouvant aller au four
Dans un bol, mélanger les ingrédients restants (sauf le riz) pour obtenir une marinade onctueuse
Verser cette marinade sur les aiguillettes de canard, les retourner pour que le mélange imprègne les deux côtés, couvrir d'un film transparent et laisser au frigo une à deux heures
Faire cuire la viande au four, en combiné four-grill si vous avez, sinon à four moyen (190°) pendant 7 minutes, retourner la viande et remettre 7 minutes
Déguster avec du riz basmati arrosé de la sauce

Et voilà, si vous aimez le sucré-salé, cette recette devrait vous plaire ! 
Bon appétit et régalez-vous !

A bientôt ! 

mercredi 26 janvier 2011

Balade archéologique

Bonsoir à tous,

Retour en Crète ce soir, pour une promenade sur un site archéologique grec, sur la côte Est de l'île, près de Sitia, que j'ai eu la chance d'avoir pour moi toute seule un dimanche matin... Petite balade en images...

Pour gagner le site quand on part à pied de Sitia, de nombreux panneaux indiquent le chemin, il suffit de les suivre !
 
Aucune barrière n'empêche de se promener au milieu des ruines, et on découvre mieux les vestiges des anciens bâtiments du site. 
Ce qui est un peu dommage, en revanche, c'est l'absence d'explications sur le lieu, et même en cherchant dans mes livres sur la Crète ou sur Internet, je n'ai quasiment pas trouvé d'informations, juste qu'il daterait de 350 à 50 avant J.C. et qu'il y avait, en plus de la ville, un port et un chantier naval. La totalité du site n'aurait pas encore été fouillée, peut-être cela réserve-t-il de nouvelles découvertes.
 
 
 
 
 
 
La cité a été construite sur un petit cap qui s'avance dans la mer, dans la baie de Sitia. La vue depuis l'endroit est magnifique et donne envie de s'y installer pour passer un moment à réfléchir ou à écrire, dans le calme. Quelle différence par rapport à mes visites du site de Cnossos, à chaque fois envahi par les touristes, quel que soit le moment où on s'y rend.
 
 
 
 
 
 
Ce n'est qu'à la fin de ma visite sur le site que j'ai fini par rencontrer une autre touriste qui s'y promenait, et coïncidence, c'était aussi une Française avec qui j'ai discuté un peu, le hasard de se rencontrer dans ce lieu si peu fréquenté était amusant.
 

Et voilà, c'est tout pour aujourd'hui. A bientôt.

vendredi 21 janvier 2011

Souvenirs, souvenirs...

Bonsoir à tous,

Petite séquence souvenirs ce soir, de l'époque où Sushi n'était qu'un petit chaton de 900 grammes, et pas encore la charmante bestiole de 5 kilos qui passe son temps entre m'embêter en squattant mes jambes ou m'attaquer dans ses moments de mauvaise humeur ! 
Retour en images sur les premiers mois de Sushi dans ma vie...
Très vite, Sushi m'a servi de modèle pour mes photos... mais quand elle faisait la sieste, elle avait parfois envie que je fiche la paix, et me le faisait comprendre !
Elle avait beau être toute petite, elle avait déjà des belles petites dents pointues et n'hésitait pas à les montrer !
Comme tous les chats, elle adorait déjà se rouler au soleil, surtout sur un tapis confortable (qu'elle pouvait ensuite utiliser comme griffoir !)
Et quand elle en avait vraiment marre que je joue la paparazzi avec elle, elle me tirait la langue...
... ou me faisait les gros yeux...
..., bref, me montrait bien qu'elle n'était pas contente (et quand elle avait cette tête-là, c'était en général que l'attaque n'était pas loin !)
Curieuse comme tous les chatons, elle passait déjà beaucoup de temps à guetter dehors...
...  et dès qu'elle voyait un sac, elle se glissait dedans, quelle que soit sa taille !
A cette époque, elle était encore assez petite pour passer de mes genoux à l'intérieur du tiroir de mon bureau...
...  et me narguer quand j'essayais de la prendre en photo (aujourd'hui, vu sa taille, pas de risque qu'elle y retourne par ce chemin !!!)

Parfois, elle a fait de drôles de rencontres, comme ce chat en carton qui l'a d'abord intriguée...
 ... puis conquise puisqu'elle lui a gentiment fait un bisou...
 ... et lui a même proposé de jouer avec elle après !
Pour son premier Noël, elle a décidé de m'aider à décorer le sapin et l'appartement...
... sauf qu'elle n'a pas compris qu'il fallait me passer les guirlandes et non pas se coucher dedans !
Et en plus, après, elle croyait que je ne saurais pas reconnaître le Père Noël et qu'il fallait donc qu'elle me montre lequel c'était... Quand même, je connais mes classiques !

Et pour finir, une petite vidéo souvenir de la demoiselle...

C'est quand même bien plus mignon quand ils ont cette taille-là, n'est-ce pas ? Dommage qu'ils grandissent et grossissent trop vite !

Voilà, c'est tout pour ce soir, à bientôt !

mardi 18 janvier 2011

Quand on n'a pas le compas dans l'oeil...


Bonsoir à tous,

Ce soir, retour en Crète pour se replonger dans les souvenirs (avec un article dédié à quelqu’un qui trouvait que je ne m’étais pas foulée sur le dernier car il n’y avait que des photos… bonne lecture !)

Retour en 2000, pour une histoire qui prouve que je n’ai pas le compas dans l’œil quand il s’agit d’évaluer les distances…

Après la visite de la forteresse qui se dresse sur le port d’Héraklion, en milieu de journée, je fais quelques pas sur la jetée qui longe le port et j’aperçois au loin un petit phare à l’endroit où le port rejoins la mer. J’hésite à y aller, puis me rappelle avoir lu dans un guide que la vue du bout valait l’effort à fournir (moi et ma tendance à lire les livres et à leur faire confiance...) 
Me voilà donc partie gaiement le long de la jetée, direction l’extrémité... qui est bien plus lointaine que je ne le pensais ! J’avance sous le soleil qui cogne dur au-dessus de moi : pas un poil d’ombre, heureusement que j’ai ma casquette ! Au passage, je découvre l’épave complètement rouillée et rongée d’un vieux bateau de style cargo... étonnant qu’il se soit échoué là car, vu l’état, il doit y avoir belle lurette qu’il est là... Quelques autres bateaux de taille imposante mouillent le long de la jetée... Un peu plus loin, de jeunes garçons pêchent : ça mord ? ... Et je continue d’avancer à bon pas, ayant l’impression que mon but ne se rapproche toujours pas, me demandant si ça va durer encore longtemps... c’est encore loin, Grand Schtroumph ?!? Je parviens à un endroit un peu plus large qui n’est malheureusement pas le bout de la jetée, comme je l’avais cru à première vue avec espoir, mais juste un virage... 
et je continue... et je me dis que, comme une andouille, j’ai entrepris cette longue balade aux heures les plus chaudes de la journée, sous un soleil de plomb… n’aurais-je pas pu y penser plus tôt ? Eh bien non ! Et pour couronner le tout, je n’ai pas de bouteille d’eau avec moi… Enfin, tant pis, maintenant que j’approche du but, je ne vais pas rebrousser chemin ! J’arrive enfin au bout, où le phare se révèle être en fait une sorte de grosse antenne métallique qui se dresse sur un socle en pierre. Je monte un escalier pour avoir une meilleure vue sur la mer et sur la ville, 
puis redescends prudemment car il y a toujours le vent que je sentais souffler sur les remparts de la forteresse... Je regarde ma montre pour voir combien de temps il faut pour aller du “phare” au fort, car j’ai oublié de regarder à l’aller. 
Je reprends donc le chemin inverse, toujours sous un soleil de plomb qui brille sans discontinuer : je me tartine régulièrement les bras de crème solaire pour éviter les coups de soleil, vu ma peau blanche qui brûle mais ne bronze pas (ou presque pas !). J’ai le vent dans le dos, ce qui ne me rafraîchit pas du tout, et j’ai donc une soif d’enfer ! Je m’arrête plusieurs fois en route pour me reposer sur un banc, le temps de reprendre mon souffle ou d’essuyer mes yeux brûlés par la sueur qui me coule du front. Quand le fort apparaît enfin dans mon champ de vision, puis grossit de plus en plus, je pousse un soupir de soulagement. Je remonte jusqu’au bout la jetée et m’arrête dans le premier mini-market que je trouve pour y acheter une petite bouteille d’eau pour étancher ma soif. En moins de cinq minutes, j’avale tout son contenu (elle fait 50 cl, ça fait donc du 10 cl à la minute !). Avant de retourner à mon hôtel, je m’arrête sur un banc à l’ombre et repense à ma montre que j’ai regardé en arrivant près de la forteresse : 30 minutes pour le retour, soit une heure l’aller-retour, en plein soleil et sans eau, pas étonnant que je sois sur les rotules après ce genre de balade !
Mais l’histoire ne s’arrête pas là, car une mauvaise surprise m’attendait quelques heures plus tard, au moment de me coucher, à l’hôtel… si j’ai bien pris la précaution de me tartiner les bras de crème solaire, j’ai oublié que d’autres endroits étaient exposés, et je découvre un magnifique coup de soleil dans le cou, du côté gauche, brûlant et qui me fait très mal… vu son intensité, j’allais en avoir pour plusieurs jours à souffrir !

Autant vous dire que cette histoire m’a servi de leçon et qu’à chaque séjour là-bas, maintenant, je suis à la crème solaire indice 50 et je n’oublie plus une seule partie découverte !

A bientôt !

samedi 15 janvier 2011

Petites bêbêtes...

Bonjour à tous,

Une des fonctions que j'aime beaucoup utiliser sur mes différents appareils photos numériques, c'est la fonction macro, pour photographier des fleurs et aussi, quand ils se présentent, les petites bestioles qui viennent se poser dessus.
Petites séries de photos prises au cours de mes balades et de mes voyages...

D'abord, en Bretagne, où j'ai commencé par rencontrer quelques abeilles...
 
 ... dont l'une a même choisi la manche de ma veste pour se poser !
 Et parfois, on assiste à des scènes classées X !!!
 
 
Puis du côté de Paris, dans les Serres d'Auteuil, où les fleurs attirent de nombreux insectes, et aussi quelques papillons...
 
 
 
 
 
 

Partons un peu hors de nos frontières... Commençons par la Martinique où les petites bêtes rencontrées étaient plus grosses que des insectes !
 

Puis à l'Ile Maurice où les fleurs de nénuphar sont appréciées comme piste d'atterrissage !
 

Et bien sûr, pour conclure, je ne pouvais que finir par la Crète, avec notamment la rencontre sur une plage avec un bernard lhermitte qui n'a eu qu'une hâte, quitter la plage pour retourner à l'eau !
 
Et voilà, c'est tout pour aujourd'hui !

A bientôt.